Bruno Moysan

Bruno Moysan, agrégé de musique et docteur en musicologie (thèse sur les fantaisies de Liszt sur des thèmes d’opéras), a enseigné les relations entre musique et politique à SciencesPo Paris (1998-2010) et au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (2007-2009), le journalisme et les médias dans le département de musicologie de l’Université de Paris 8 Vincennes-Saint Denis (2011-2013). Il est actuellement chargé d’enseignement au département d’histoire de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Il est aussi membre collaborateur de l’Observatoire interdisciplinaire de création et de recherche de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur Liszt et Chopin, la musique romantique de piano, la réécriture en art et spécialement dans la musique du xixe siècle, les relations entre musique et politique dans les démocraties modernes, la pensée libérale et ses relations avec la culture.

Publications

auteur de

  1. chapitre « Le Grand Duo concertant sur des thèmes de « Robert le Diable » ou l’art d’échapper à la narration ? », p. 77-98.
(couverture de Le Duo violoncelle piano, approches d’un genre)

Le Duo violoncelle piano, approches d’un genre

, et (direction scientifique)

auteur de

  1. chapitre « Le quatuor à cordes de François Meïmoun : renouer les fils de l’histoire, risquer l’extrême », p. 227-248.
(couverture de Le Quatuor à cordes, vers les séductions de l’extrême)

Le Quatuor à cordes, vers les séductions de l’extrême

, et (direction scientifique)
(couverture de Mythes et mystiques à l’orée du xxe siècle de Szymanowski à Elgar)

« Mythes et mystiques à l’orée du xxe siècle de Szymanowski à Elgar »

, et

    auteur de

    1. chapitre « La virtuosité romantique de Liszt comme expérience de la transe, du ravissement et de l’extase », p. 83-101.
    (couverture de Transe, Ravissement, Extase)

    Transe, Ravissement, Extase

    (direction scientifique)
    (couverture de Liszt, virtuose subversif)

    Liszt, virtuose subversif

    auteur de

    1. chapitre « Franz Liszt et la pratique de l’arrangement », p. 363-371.
    (couverture de Franz Liszt)

    Franz Liszt

    un saltimbanque en province
    et (direction scientifique)

    auteur de

    1. article « Les recueils de chant de Marie de Goué (1837-1924) et Marie Cocar (1877-1948) : esquisse d’un imaginaire social », p. 151-176.
    (couverture de Revue de musicologie, t. 92/1 (2006))

    « Revue de musicologie, t. 92/1 (2006) »

      Format bibliographique à copier

      Moysan, Bruno. « Le Grand Duo concertant sur des thèmes de « Robert le Diable » ou l’art d’échapper à la narration ? », Le Duo violoncelle piano, approches d’un genre, direction scientifique de Mélanie Guérimand, Muriel Joubert et Denis Le Touzé, Microsillon, 2017, p. 77-98.
      Moysan, Bruno. « Le quatuor à cordes de François Meïmoun : renouer les fils de l’histoire, risquer l’extrême », Le Quatuor à cordes, vers les séductions de l’extrême, direction scientifique de Mélanie Guérimand, Muriel Joubert et Denis Le Touzé, Microsillon, 2016, p. 227-248.
      Mao-Takacs, Clément & Moysan, Bruno & Falcinelli, Sylviane. « Mythes et mystiques à l’orée du xxe siècle de Szymanowski à Elgar (Tempus Perfectum n° 10) », Tempus Perfectum, n° 10, Symétrie, 42 pages.
      Moysan, Bruno. « La virtuosité romantique de Liszt comme expérience de la transe, du ravissement et de l’extase », Transe, Ravissement, Extase, direction scientifique de Marianne Massin, Ambronay Éditions, 2012, p. 83-101.
      Moysan, Bruno. Liszt, virtuose subversif, préface de Bernard Stirn, Symétrie, 2010, 304 p.
      Moysan, Bruno. « Franz Liszt et la pratique de l’arrangement », Franz Liszt, un saltimbanque en province, direction scientifique de Malou Haine et Nicolas Dufetel, Symétrie, 2007, p. 363-371.
      Moysan, Bruno. « Les recueils de chant de Marie de Goué (1837-1924) et Marie Cocar (1877-1948) : esquisse d’un imaginaire social », Revue de musicologie, tome 92, n° 1, 2006 : « Revue de musicologie, t. 92/1 (2006) (Revue de musicologie tome 92, n° 1, 2006) », Société française de musicologie, p. 151-176.